La CGT dénonce le non respect de la Convention de la Métallurgie par la Direction sur les indices et les coefficients qui devraient être appliqués aux salariés. Ainsi ce mépris de la loi permet depuis des années à la Direction de faire des économies au dépend de nos salaires.
Pour rappel, un indice détermine le minimum de salaire annuel, est doit être revalorisé tous les 3 ans pour les cadres (ex minimum pour un cadre autonome coefficient 100 : 32953 € / an),
La CGT l’avait deja proposé à la direction qui avait, bien sur, refusée.cliquez pour NAO RICOH 2010-Annexes PV désaccord NAO 2010 désaccord version déposée-2010-06-15
Et pour le salarié qui passe au statut cadre, l’employeur doit prendre en compte son expérience professionnel et son cursus scolaire). Pour cela nous demandons la reconnaissance des diplômes. ARTICLE SUIVANT SUR LES MINIMAS
Lors des dernières Négociation salariales en avril 2010, La Direction n’a pu esquiver cette régularisation bien légitime, et a promis son application dans les trois mois !
Une fois de plus cette promesse n’a pas été tenue.
La directive gouvernementale sur la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) devait être close au 31 décembre 2009.
Encore une fois, la direction à fait la sourde oreille aux Organisations Syndicales et n’a pas voulu entreprendre des négociations dans les délais légaux. Une fois de plus elle avance qu’elle est débordée, et elle promet de mettre cet outil en place … en mars 2011….
Si la GPEC avait été mise en place lors du PSE, nous aurions pu appréhender les changements de métiers, et éviter que des hommes et des femmes n’apprennent leur suppression de postes de manière brutale.
Car La mise en place de la GPEC, c’est aussi l’obligation d’apporter une vision claire de l’entreprise et du groupe sur les trois ans à venir.
Vous le savez, Les dernières Négociations salariales de 2010 ont débouché sur un protocole de désaccord. Une fois de plus, la direction a appliqué son objectif principal, réduire la masse salariale, tant par le nombre de salariés que par le montant des salaires et des commissions.
Cette fois elle a démontré à quel point ces négociations n’étaient qu’un passage obligé dont elle se moquait parfaitement.
Le principe des paiements des commissions à la facturation étant en vigueur depuis le 1 juillet, nous avons tous constaté que contrairement aux promesses de la direction, l’impact sur la rémunération des commerciaux est très important. De nombreux vendeurs se sont retrouvés étranglés financièrement, d’autres réalisent des baisses de rémunération intolérables.
Par ailleurs, chapeau bas aux collegues IDV de l’UO Sud Ouest pour avoir manifestés leurs mécontentement le mois dernier durant leurs kick off…
Nous voyons avec une très grande inquiétude partir à la concurrence des commerciaux talentueux, et le stress ne cessent d’augmenter ! Que fait la Direction, elle propose des challenges, une goutte d’eau dans la mer !
PAPA NOEL MICHEL …
Pour l’ensemble de ces raisons), la CGT demande l’application immédiate de la Convention Collective de la Métallurgie et le paiement des minimas pour les IDV MENSUELLEMENT,
Ce qui ferait pour un IDV cadre au statut 100, un salaire minium mensuel de 2746 €, la différence avec le salaire fixe serait pris en avance sur com., mais ce qui empêcherait des vendeurs en détresse comme ont peut le voir sur toute les UO.
Pour les techniciens ou les administratifs, la reconnaissance de leurs diplômes pourraient bien améliorer aussi leurs positions.
Quoi qu’il en soit, comme nous l’avons dit toutes ces « économies », et le mot est faible, sont faites sur le dos des salariés depuis des années représentent des centaines de milliers d’Euros.
La CGT exige une prime exceptionnelle, et immédiate pour tous de
500 €